DALLAS MAVERICKS – LA GRANDE LIGUE #22 – LE WUNDERKIND & LE WONDERBOY AU PAYS DES COWBOYS !

DALLAS MAVERICKS – LA GRANDE LIGUE #22 – LE WUNDERKIND & LE WONDERBOY AU PAYS DES COWBOYS !

la nouvelle édition de notre livre La nbsa avec une couve collector de WBI et un nouveau chapitre sur la draft est disponible en exclusivité sur la Fnac mais attention seulement sur Fnac.com avec la livraison à domicile ou le retrait en magasin cette version collector avec ce chapitre sur la draft tombe à point nommé avec une draft historique à venir avec plusieurs Français dans le top 10 il y a peu de stock disponible donc dépêchez-vous de commander votre exemplaire et si on estc tout le stock il sera sans doute disponible à l’achat en physique dans tous les Fnacs de France en commandant le livre dès maintenant vous aidez directement votre chaîne préférée le crossover alors on compte sur vous la nbsa version collector avec WB c’est disponible dès maintenant sur Fnac.com bienvenue à tous dans la grande ligue l’émission qui vous raconte la fabuleuse histoire des franchises NBA la NBA est un univers impitoyable qui glorifie la loi du plus fort pourtant le plus fort ne gagne pas à tous les coups une blessure une décision arbitrale ou même simplement de la chance peuvent rebattre les cartes et changer radicalement le cours d’une série après tout même les plus grandes équipes ont connu leur lot de CH en revanche quand ces Chok sont trop réguliers c’est qu’un mal plus profond existe la peur de gagner la franchise dont nous allons vous parler aujourd’hui a longtemps eu peur de gagner son franchise player a même été l’incarnation du loser ironie de l’histoire il s’est ensuite relevé comme un underdog ultime pour nous offrir l’un des si ce le plus beau titre de tous les temps alors on part au Gal soleil couchant vers la patri des dollars et du Pétrole Dallas et MAV nous voilà vous êtes prêt let’s [Musique] [Applaudissements] mag and Larry SAV the NBA mich Jordan [Applaudissements] it the yes over rising it matters cur throws it up to [Applaudissements] [Musique] [Applaudissements] [Musique] à la fin des années 1970 les États-Unis se passionnent pour un feuilleton télévisé d’un nouveau genre son nom [Musique] dallasoniversable Dallas c’est une certaine vision de l’Amérique caricaturale certes mais finalement assez proche de la réalité celle du Texas de ses grands espaces de ses puits de pétrole et de ses ranches la série met en scène un conflit éternel entre deux familles rivales deux dynasties de riches industriels une sorte de Roméo et au pays des gros flingues et du capitalisme exacerbé parmi toute la galerie de personnage que compte la série un marque particulièrement le public Jr un Mania du pétrole cruel et manipulateur Frank Underwood avant Frank undererwood Logan Roy avant Logan Roy Donald Carter lui ressemble à s méprendre tous deux sont des millionnaires vivants à Dallas ils portent les mêmes vers fumés Harbor des costumes TR pièces quasiment identiques et aime porter des chapeaux de cowboy de temps en temps à ceci près que Don Carter n’est pas un personnage de fiction Donald existe bel et bien alors que Jr tente de faire annuler le mariage de son gendre lui cherche désespérément à intégrer la NBA [Musique] une équipe de basketball à Dallas l’idée ne date pas d’hier et lui a été soufflé par un homme d’affaires californien garneart don a immédiatement adhéré au projet un cadeau pour sa femme qui a joué au basket lorsqu’elle était au lycée le projet devient plus concret à partir de 1978 quand Carter rencontre norm sonju le président des Buffalo braves ce dernier souhaite déménager sa franchise au Texas mais la NBA refuse les braves partent finalement à San Diego en Californie pendant que sonanjou lui reste à Dallas les deux hommes d’affaires désormais associé tent alors de mettre la main sur les milwukey bugs et les Kansas City Kings deux équipes en proie à des difficultés financières mais là encore le projet est stoppé net lorsqu’il s’agit de parler de délocalisation le constat est simple personne ne veut entendre parler d’une équipe de basket dans le Texas et encore moins à Dallas pour cause par le passé la ville a déjà eu le droit à son équipe professionnelle les chaparals en ABA un fiasco total le Texas n’est pas un état de basket et il compte déjà deux franchises NBA les Spurs à San Antonio et les Rockets à Houston en ajouter une troisième relèverait du suicide mais en bontexant Carter et son sont des hommes de défi tant pis pour l’achat ils passeront par l’expansion d’abord réticent le commissionnaire Walter Kennedy finit par accepter Carter et Sonjo tiennent enfin leur franchise il ne reste plus qu’à lui trouver un nom les habitants de Dallas sont sondés et leur choix se porte sur un feuilleton télévisé encore Maverick un western très populaire à la fin des années 50 [Musique] un nom qui colle parfaitement à l’identité texane et qu’on peut traduire en français par tête brûlée ou non [Musique] conformiste les Dallas mavcks intègrent la Ligue en 1980 pour diriger son équipe don Carter fait confiance à Dick mot un coach très expérimenté entraîneur de l’année avec les blls et récent champion avec les bouets lors de la draft d’expansion son désormais GM fait le Paris osé de snober plusieurs stars au profit de joueurs moins connu mais plus jeun les maves disputent leur premier match le 11 octobre 1980 une victoire sur les Spurs les ex chaparolls l’histoire est bien faite des victoires pourtant Dallas ne va pas en remporter beaucoup lors de sa saison inaugurale mais tant pis Dick Mota a ce qu’il désirait des joueurs qui en veulent à l’instar du chouchou du public Brad Davis et surtout le First pe de la prochaine draft et quel draft Marc Aguer sélectionné en première position Rolando Blackman en 7e puis Jay Vincent en 24e choix un tri au gagnant pour une soirée parfaite Dallas vient de se doter d’un youngcore extrêmement prometteur les années qui suivent sont celles de l’apprentissage les Mavs jouent bien et ne tardent pas à gagner des matchs Marc Aguer fait ce qu’il sait faire de mieux escore tout as en l’espace de quelques saisons le pistolero s’installe parmi les plus fines gâchettes de l’Ouest tels que Adrian dentley George Garvin en 1984 avec 29,5 points de moyenne il devient le premier Maveric à participer à un allst Game pour Rolando Blackman en revanche tout part de la défense grand excellent défenseur et shooterur létal à mi-distance il répond présent chaque soir avec professionnalisme et [Musique] [Applaudissements] [Applaudissements] style en 1984 les Mavs se qualifient pour les play-offs pour la première fois de leur histoire au tour ils sont opposés au suonic bagué en 1979 une équipe vieillissante mais toujours aussi redoutable guidé par la fou de la jeunesse les hommes de Dick Mota pousle à livrer un match 5 décisif un bel exploit que les dirigeants de la franchise n’avaient pas anticipé reunion Arena étant occupée par un tournoi de tennis don Carter est contraint de délocaliser la rencontre cruciale dans le modeste Moody Coliseum mené 93 à 86 à 2 minutes du buzzer final Dallas est au bord de l’élimination c’est alors que le public entre dans une trans collective les unb [Applaudissements] légendaire en les de équipes en prolongation bout de arrache la victoire dans une ambiance indescriptible la Moodie Madness le match le plus dingue de l’histoire de la franchise épuisé autant physiquement que psychologiquement les maav s’inclinent sèchement au tour suivant face au Lakers mais le contrat est déjà rempli Dallas la ville de football américain par excellence vient de tomber sous le charme du basketball suite à cette C épopé les maverics s’installent durablement en play-off en interne le GM norm Sonjo abint un travail de l’ombre remarquable et draftte pépite sur pépite le meneur gestionnaire Derek Harper un pur produit de son époque Sam Perkins dit big smooth un stretch forward avant l’heure et l’allemand delef schrmf future double meilleur 6e homme de l’année malheureusement Dallas ne parvient pas à transformer l’essai en post season battu par Portland en 19 85 puis de nouveau étrié en demi conférence un an plus tard par les [Musique] Lakers en 1987 la franchise établit son meilleur bilan avec 55 victoires favori les maves ESS un upset retentissant face au suonic assassiné par Dale un ancien de la maison transféré à Seattle à peine quelques mois plus [Applaudissements] tôt dans le vestiaire rien ne va plus Marc aguyer est montré du doigt pour son manque de professionnalisme notamment par son coach Dick Mota qui lui reproche un goût trop prononcé pour la nourriture entre les deux hommes c’est le point de nonretour malgré le bilan record Mota démissionne il est remplacé [Musique] la greffe prend bien et les maves reviennent encore plus fort la saison suivante grâce à un AG Blackman au sommet de son et un ban à la profondeur remarquable dasallas se fer facilement un chemin jusqu’au final de conférence elle y retrouve sa bête noire les Lakers quadruple champion NBA et en route pour le premier back to back de l’aire moderne face au Showtime la bande à Hauer offre une résistance héroïque et remporte ses TR matchs à domicile d’ au mur les champions en titre sont contraints de livrer un Game seven un Game se accroché pendant lequel Dallas joue pleinement sa chance heureusement Magic Johnson sort de son trou lors du 4e Cartan pour envoyer les Angelinos en Terre promise les maves peuvent nourrir des regrets ils viennent de passer à un match des Finales NBA cette défaite met un coup d’arrêt définitif à ses mavrix version 80s sen est trop l’élier demande son transfert initialement envoyé à Indiana il fait volontairement capoter le deal pour rejoindre les bad boys de son ami d’enfant 19 r pass prfite laèce man permett à deorter 92 Ron plus prifque de l’istoire de la franchiseallas pour New York t [Musique] à partir de 1990 les Mavs ne participent plus à la postseason lesesoir Ren en 94 quandallas utilise son deè choix de la draft pour sélectionner un jeune meneur [Musique] [Applaudissements] c’est le début des triple j à la M Jason Kid le prototype du meneur parfait un général des parquets qui voit tout avant tout le monde un passeur exceptionnel et un intercepteur de génie sur les ailes Jim Jackson et jamalb de habitués des top de scoreurs prolifi qui BR je les tri j for un trio de tête brûlé particulièrement talentueux l’un des plus fun qui est connu la NBA en une saison les MAV enregistr 23 victoires supplémentaires qui élu cor de l’anné en compagnie de son pote grtil dans le Texas tous les voyants sont au vert mais c’était sans compter sur une chose Lego Jamal masburn manque la majorité de la saison 95-96 à cause d’une blessure au genoux en son absence Kid et Jackson en viennent au main la faute a une histoire de cœur les deux hommes se disputent alors les faveurs de Tony braxston une chanteuse de RnB en vogue la Starlett aurait donné rendez-vous au premier pour finalement repartir avec le second une humiliation que Jason Kid n’est pas prêt d’oublier le BIF entre les deux coéquipiers se ressent sur le terrain et impacte directement les résultats de l’équipe le front office prend la décision d’arrêter les frais à Noël 96 Kid est échangé à Phenix contre Michael Finley avant le all St break c’est au tour de Jamal masburn d’être débarqué Jackson suivra peu de temps après un beau [Musique] fiasco après la courte parenthèse triple J sont au fond du trou dans l’espoir de redresser la barre le front office offre le poste d’entraîneur à un homme d’expérience Don Nelson à l’époque Nelson est déjà vu comme un coach ringard il sort de de échecs consécutifs au Warriors et au Nyx donc sa nomination ne rassure pas les fans mais Nelly a encore quelques tours dans sa manche comme son fils don par exemple le puisse dire c’est que Don un certain flair lorsqu’il s’agit de scûter de jeunes prospect ce dernier est d’ailleurs persuadé d’avoir repérer un talent générationnel un grand blond de 2 m pas spécialement athlétique un peu Pau et allemand qui son nom dirknov [Musique] [Musique] lors de la même soirée Nelson en profite également pour mettre la main sur un autre gral un Steve Dallas h de illustres inconnus dont personne ne veutès de détracteurs Nelson passe définitivement pour un vieux fou il va leur prouver le contraire mais pas tout de [Applaudissements] [Musique] suite car les débuts de Dirk se révèle pour le moins compliqué l’allemand doit attendre le 5 février 1999 et la fin du lockout pour enfin fouler les parquets de la grande ligue à cause du lockout Lesli fort n’a pas eu le temps de s’entraîner avec ses nouveaux coéquipiers il n’est tout simplement pas prêt les critiques incessantes parfois xénophobe ne font que renforcer son malêtre Dirk ne se sent pas chez lui dans le Texas et pense à rentrer au pays à ce moment précis rien ne le prédestine à devenir le plus grand joueur européen de [Musique] [Applaudissements] l’histoire à Dallas le bug de l’an 2000 porte le nom de Marc Cuban à 41 ans l’homme d’affaires débourse pas moins de 280 millions de dollars pour acquérir la franchise petit génie de la tête u milliardaire après le rachat de sa société broadcast.com par le géant du web Cuban est un proprio d’un nouveau genre comme Jerry bu en son temps le président des MAV bouscule les codes il n’est pas issu du monde sportif il est jeune cool hyperactif et n’hésite pas à donner de sa personne [Musique] que ce soit en investissant de sa fortune personnelle pour améliorer les infrastructures et la logistique de son équipe en achetant notamment un Boeing 747 pour que ses jouur puiss voyager dans les meilleures conditions cha Soord terrain ses hommes quitte à en faire parfois un peu trop souvent même les arbitres peuvent en témoigner c’est ça le style Mar Cuban le Zuckerberg de la NBA un savant mélange entre extravagance et omniprésence grâce à lui les joueurs n’ont plus qu’à se concentrer sur le basket Dirk qui jusqu’ici traînit son splin va beaucoup mieux il s’est fait un meilleur ami en la personne de Steve N et trouvé ses repères sur le parquet il boucle sa saison sfomore à 17,5 points de moyenne et est même sélectionné pour le concours à 3 points du allst weekend les spécialistes commencent à entrevoir le potentiel dingue du gamin Dirk ne sera jamais un grand défenseur certes mais il a tout pour devenir la plus fine gâchette que l’Ouest est connu son tir novitski le doit à deux choses une éthique de travail remarquable et son mentor hger geschwindner geswindner est un docteur Frankenstein de la balleore physicien et mathématicien de formation il est obsédé par la recherche du tir parfait un tir dont il a calculé l’angle optimal à 60° olger rencontre Dirk quand ce dernier n’a que 15 ans et qu’il hésite encore entre le tennis son premier amour le handball le sport de son père et le basket vers lequel sa taille semble naturellement le diriger entre le vieil homme et l’adolescent le courant passe immédiatement dir est séduit par l’approche iningulière de hger et accepte de lui faire confiance dès lors il devient son coach personnel son ami et son confidant il le restera tout au long de sa carrière la méthode d’entraînement du coach manique ne ressemble à aucune autre avec lui pas d’exercice traditionnel et encore moins de musculation pour hger tout passe par le jeu il emmène régulièrement ses joueurs en stage d’aviron pour améliorer leur résistance et développer leur esprit d’équipe il leur fait pratiquer lesescrime pour travailler leur vitesse et leur explosivité il leur demande de dribler au rythme de son ami saxophoniste pour stimuler leur créativité la créativité est d’ailleurs une notion primordiale dans la philosophie de hger au lieu de forcer novitski achouté depuis des spots prédéfinis avec une mécanique identique il l’oblige à tirer depuis n’importe quelle position même la plus farfelu comme sur une jambe le buste incliné vers l’arrière par exemple c’est ainsi que Dirk développe son signature move le one leg fade un tir unique duut DEES qui SEM tout bonnement incable à une époque où les intérieurs jouent encore proche du cercle comme Tim Duncan ou Kevin garnet Dirk lui participe à révolutionner son poste il écarte le jeu et Sho à TR points c’est la création des notions de spacing et stretch for des spécificités qui cent parfaitement au style de jeu prené par Don Nelson le fameux run un basket rapide souten avec et Michael fin N a tout pour réussir d’autant plus Steve n commence lui aussi à montrer de belles choses [Musique] the same day he was Dra I was TR both of us young and green and him in particular because he came from small town in Germany all the way to the NBA luckily had two years in the leue and was kind of able to help show ropes and not only about the league but American culture and life the same apartment complex on the road he would take me out of the hotel so I don’t be in the hotel the whole time and be home si so he was he was very important the first couple years the biggest inod that we [Musique] la saison 2000 2001 est celle de la révélation pour le meneur canadien il s’installe définitivement dans le 5 majeur et passe de 8 à 15 points de moyenne accompagné de se passes décisives et attention 7 caviar niveau offrande on fait difficilement mieux que Steven Nash grâce à son nouveau chef d’orchestre le Nell ball porte enfin ses fruits Dallas enchaîne les victoires et se qualifie pour les play-offs pour la première fois depuis 1990 pour leur grand retour les MAV tomb sur du très lourd le jazz des éternels John Stockton et Carl Malone rapidement mené 2 à0 la bande à Don Nelson n’est plus qu’à une défaite de l’élimination c’est le moment choisi par dirknovi pour sortir de matchs titanesqu à 33 points et remettre les deux équipes à égalité lors du Game 5 c’est au tour de finle de se mettre en évidence impérial tout au long de la rencontre l’arrière arrache la victoire d’une passe clutchissime dans les dernières secondes un match fondateur qui n’est pas s’en rappeler la mood Madness de 1984 malheureusement comme leur glorieux aîné les MAV s’inclinent dès le tour suivant face au San Antonio Spurs un scénario qui est appelé à se reproduire [Musique] ute miram l’niv l’UD de gendre idéal fait définitivement ta les critiques ils deviennent all St et se font une place dans les all NBA team le Big atteint de nouveau des demiinales de conférence mais stoppé cette fois par les Kings duest l’apprentissage du haut [Applaudissements] niveau en 2003 après 4 saisons de rage les MAV sont fin pr Don Nelson a procéd à des ajusts défensifs la et bradle au B besogneant que le bigre son plus beau jour et pour la prière fois de son histoire Dallas atteint la barre des 60 victoires en saison régulière en play-off tout commence plutôt bien opposé au Blazers les Mavs remportent facilement les trois premiers matchs puis plus rien le trou noir en panne d’adresse les hommes de Don Nelson s’arrête complètement de jouet et concède trois revers consécutifs à ce moment précis ils peuvent devenir la première équipe éliminée après avoir mené 3-0 heureusement dirknoviti plante un trp salvateur dans les derniers instants du Game [Musique] se les maves se sont fait peur et ce n’est pas prêt de s’arrêter au tour suivant Dallas retrouve une vieille connaissance Sacramento cette fois la série est nettement plus et c’est encore Dirk noovitski qui cl le débat d’un game s stratosphérique 30 points 19 rebonds et c’est assez rare pour le souligner une prestation défensive très solide le 3è tour nous offre une affiche 100% texane aux allures de finale NBA avant l’heure la fameuse rivalité de l35 du nom de la route qui relie Dallas à San Antonio les Mavs pensent avoir fait le plus dur en allant chercher une à l’extérieur dè le Game One malheureusement la confrontation bascule lors du 3è match quand Dirk noovitski heurte violemment Manu Ginobili touché au genou l’allemand est indisponible pour le reste de la série sans son wk Dallas fait de son mieux pour résister mais s’incline avec les honneurs face au futur champions le Big th peut nourrir de gros regrets sans la blessure de son meilleur scoreur il avait tout pour soulever le trophée Bry il n’en aura plus jamais [Musique] l’occasion la saison 2003-2004 marque un échec cuisant Nelly repositionne Dirk au poste de pivot ce qui a pour effet de faire chuter drastiquement son rendement offensif les mavrix débarqu en play-off sans briller et se font sèchement éliminer par les Kings dès le premier tour Marc Cuban prend alors une décision lourde de conséquen agent libre Steve Nash est gentiment invité à aller voir ailleurs le petit génie de la tech ne se voit pas investir des millions sur un meneur trentenire avec un dos en vrac grave erreur d’appréciation quelques mois plus tard en demi-finale de conférence c’est ce même Steve Nash désormais MVP qui se ge personnellement d’éliminer son ancienne équipe entreetemps Don Nelson a lui aussi quitté le navire il pose sa démission début 2005 à la surprise générale les raisons restent obscures mais il semblerait que le vestière soit plus en Phe avec son adjoint et ancien joueur Arey Johnson qui lui succède d’ailleurs sur le banc la même année Michael Finley fait également ses bagages le capitaine historique des Mavs s’engage chez l’ennemi jur des Spurs où il remportera une bague d’ailleurs à Dallas c’est la fin du Big don dirkit est l’ultime res en 2006 malgré les départs successif des cadres de la première heure les MAV restent très [Applaudissements] compétitifs le trouve Nau en la personne du jet Jason Terry un excité de la gâchette aux célébrations les plus iconiques du Game après avoir sepé Memphis Dallas tombe de nouveau sur San Antonio pour ce qui est désormais un classique de la Conférence Ouest dans le Texas l’heure est au règlement de compte entre les deux ennemis jurés l’animosité atteint son paroxisme lors du 3è match quand le jet envoie un coup de point directement dans les valseuses de Michael pas de sentiment à la guerre comme à la guerre revanchard les Mavs poussent les champions en titre à livré une ultime bataille devant toute la rencontre Dallas voit son avance fondre comme neige au soleil à 30 secondes de la fin maninob donne l’avantage au Spurs pour la première fois de la soiréeécart [Musique] plus d’une possession à jouer [Musique] [Applaudissements] B l’allemand ne tremble pas la vengeance est un plat qui se mange saignant Dallas pr anio du seomplement qui son palmar nuage bomber enchaîne avec un duel de pistolero contre son pote de toujours Steve Nash avec une pointe à 50 points Dirk en ressort vainqueœur pour la première fois de son histoire Dallas accède au final NBA un saut dans l’inconnu qui ne semble pourtant pas effrayer ns Mavs sur leur lancé les Texans confirment leur statut de favori et remportent facilement les deux premières rencontres à 6 minutes de la fin du Game 3 Dallas dispose d’un ance confortable de 13 points en cas de défaite Miami ne reviendra pas c’est écrit Dirk va être champion NBA il ne peut en être autrement c’est alors que l’inimaginable se produit Boost par l’énergie du désespoir dne W renverse totalement le cours de la rencontre au terme d’un finish légendaire [Musique] du côté de South Beach l’espoir Rena pendant que le doute s’empare des maves frustré touché moralement Dirk ne met plus un pied devant l’autre et envoie BRI sur BRI d’ordinaire si calme le teeton laisse éclater toute sa colère le momentum a changé de camp le WK vient de louper son rendez-vous avec l’histoire et il n’est pas prêt de se représenter [Musique] après cette terrible déconvenue Dirk a à cœur de prouver qu’il n’est pas un chocker en 2007 il revient plus fort que jamais déterminé il caracole en tête de la course au MVP et se P même le luxe d’intégrer le club très fermé de 50 40 90 mais les paniers qui comptent sont inscrit en playoff pas en saison régulière novitski le sait il n’a plus le Dr à l’erreur il peut être rassuré leader de la conférence wouest avec un bilan exceptionnel de 67 victoires les Mavs s’assurent un premier tour largement à leur portée pour ne pas dire gagner d’avance car leurs adversaires les Warriors non’ont en théorie aucune chance invités de dernière minute ils ne doivent leur qualification qu’à une victoire salvatrice obtenue lors de l’ultime journée de saison régulière sur le papier c’est du tout cuit mais attention à ne pas négliger un détail le nouveau coach des Warriors connaît plutôt bien le PlayBook des Mavs à vrai dire c’est même lui qui en est à l’origine ce coach c’est évidemment Don Nelson et malheureusement pour Dallas nelly est du genre rancunier il le prouve dès le premier match en allant chercher une victoire surprise sur le parquet de l’American airlin Center [Musique] une victoire inespérée fénêtre l’espoir chez les fans de la baie les dub scandur we believe et ils ont raison d’y croire 5 matchs plus tard Dallas concède l’set le plus retentissant du 21e siècle [Applaudissements] pour la première fois de l’histoire un premier est sorti par le 8e de conférence dans une série au meilleur des match une humiliation avec un grand H signé Don Nelson Dirk n’a pas pesé autant qu’il aurait dû quelques jours plus tard l’allemand devient le premier joueur européen à être sacré MVP de saison régulière dépité il pense d’abord refuser le trophée puis l’accepte finalement à contrecœur ce qui devait être la plus belle soirée de sa vie vient de virer au cauchemar novitski a beau être le good guy par excellence il n’en demeure pas moins un compétiteur féroce ces deux gifles consécutives l’ont blessé dans son ego comme en 1999 à son arrivée dans la ligue l’allemand déprime et pense même a abandonné alors il part loin très loin et passe son été à Sonel désert australien guitare sous le bras ce road trip improvisé lui donne la force de persévérer mais Dirk n’est pas au bout de ses peine à Dallas les années se suivent et se ressemblent une régulière prometteuse suivie d’une élimination précoce en play-off un scénario qui se répète de saison en saison ni le retour d’un Jason King au crépuscule de sa carrière ni même la nomination de Rick carlle en tant que nouveau coach n’ont su inverser la tendance il faut se rendre à l’évidence les maves sont en bout de cycle l’effectif est vieillissant pour ne pas dire grab à terre à moins d’un départ dirknovitski semble condamn au rôle de l’Éternel loser un départ la question se pose à la free agency 2010 agent libre le wonderkind a deux options devant lui partir et rejoindre une super team ou rester quitte à ne jamais goûter aux joie d’un titre l’allemand n’hésite pas longtemps qu’il gagne ou qu’il perde il le fera à sa façon en restant fidèle à sa franchise à sa ville et à ses fans en plus d’une décennie dans le Texas Dirk noovitski est devenu une icône un symbole de persévérance et d’abnégation reconnu par ses pères et unanimement apprécié abandonné maintenant serait renié tout ce pourquoi il s’est battu tout au long de sa vie pas question d’avoir des regrets désormais trentenire le numéro 41 s’apprête à jouer le tout pour le tout gonflé à bloc les Mavs réalisent un début de saison du tonner grâce au renfor de Tyon Chandler les hommes de Rick Carl disposent enfin d’un point d’ancrage solide dans la raquette d’un protecteur de CERC capable de Pier les errrances défensives de leur franchise player jusqu’ici tout se passe bien trop même mais une saison NBA est loin d’être un long fleuve tranquille en pleine Bour Dirk est contraint de s’éloigner des parquets pour une dizaine de matchs puis c’est autour de car Butler de se blesser gravement out pour le restant de la saison l’illier est remplacé par Peas Stojakovic une autre vieille gloire à la recherche d’une première bague une de plus en l’absence de leur pistolero en chef les maves chutent à la troisè place de la Conférence Ouest un résultat honorable mais le plus dur est à venir d’autant plus que les mavrix ont la fâcheuse tendance à se faire peur opposé aux Blazers la bande à noovitski voit la série lui échapper quand Brandon Roy réalise un match 4 resté dans la [Applaudissements] [Musique] légende le genou en miette l’arrière signe ici son ultime coup d’éclat son champ du signe mais Dallas a appris de ses erreurs en patron les Texans se remobilisent il ser les vis et s’impose en si rencontres au tour suivant les hommes de car tombent sur du très lourd les Lakers dou champion en titre une 4 finale consécutive autant dire que les MAV ont très peu de chance de l’emporter mais ce serait sousestim la solidarité de vieux brche game à l’extérieur [Musique] [Musique] isol loin de là dans le sage d’ en de grâce etet som de forme Dallas Los Angeles [Musique] [Applaudissements] un SEP inattendu qui offre un clash des générations les vétérans des maves face au jeun l du Thunder l’expérience contre la fou de la jeunesse à la clé un rendez-vous avec l’Histoire malheureusement pour Kevin Durant et R westook a attendu trop longtemp pour se laisser griller la priorité [Musique] [Applaudissements] 48 points au Game One puis un comeback héroïque au match 4 propulse Dallas au firmament après tant de désillusion tant d’échec tant d’efforts consentis Dirk est de retour en finale NBA un retour inespéré et surtout une occasion de prendre sa revanche car son adversaire n’est autre qu’une vieille connaissance Dwayne Wade son plus grand rival qui en 2006 l’avait privé du plus beau moment de sa carrière mais en 5 ans les choses ont bien changé les rôles se sont même diamétralement inversé cette fois c’est à Dirk quiéchoue le costume de l’underdog à flash celui de l’ultra favori car Miami est loin de se résumer à lui rejoint South Beach par LeBron James et Chris Bosch l’arrière peut désormais compter sur une super team une équipe annoncée comme imbattable lesles n’ont pas seulement l’intention de remporter un titre ni de ni TR mais bien d’établir une dynastie durable de marquer à jamais l’histoire du basket face au plus grand défi de sa carrière dirknov doit réaliser l’impossible Miami confirme son statut en S jugant facilement le Game One lors duquel Dirk se blesse à la main gauche [Applaudissements] [Musique] décidément quand ça ne veut pas au match suivant le H l’occasion de consolider son avantage à [Musique] domicile dans le 4 Miami a une avance confortable de 15 POS quand le W l salvateur F mais concède le Game [Musique] 3 la faute un tir manqué l’allemand n’est d’ailleurs pas bout de s pe grip il se présente le jour du Game 4 avec 39 de fièvre à sa place n’importe quel autre joueurura forf mais va de sa [Musique] contribution mais quand arrive le Money c’est bien à l’Allemand de reprendre responsabilités [Musique] Michael Jordan a eu son flou game Dirk nooviti vient de vivre son fever game peu avant le match 5 Dwayne Wade et LeBron James se moquent du wk grave erreur qui ne fait qu’atiser davantage l’esprit de revanche des Mavs Dirk leur répond sur le terrain par un dunk rageur la série vient définitivement de basculer à partir de là Dallas ne peut plus [Musique] perdre le 12 juin à l’American Airlines Arena de [Musique] [Musique] Miami ting the IT TER for the thing that’s disappointing is this is let me tell you something play we made the same point about an alltime great not just point guard but player Jason Kid has fach realing that the jeel is well [Applaudissements] [Musique] [Musique] les MAV sont sacré champion NBA pour la première fois les larme au yeux le vtiire avant le buz final cans ces démons il vient de remporter l’un des plus beaux titres de l’histoire de la NBA un titre inattendu qui vient récompenser des années de dur labeur pour Dirk Jason Terry Marc Kuban et tous les autres le rêve est enfin réalisé l’Happy end [Musique] parfait en 2018 Dirk et JJ Bara sont les derniers escapés de l’épopée du Dallas s’apprête à manquer les playoff pour la seconde année consécutive quand un scandale [Musique] éclate une enquête de SP dép une culture emprinte de misog qui règne au sein de la franchise [Musique] le de la NBA l’institution m autrefois loué comme un modèle dans le genre vivement critiquéban est dans l’obligation de faire le ménage mais ce n’est pas suffisant pour racheter son image Dallas doit renouer avec la victoire et ça tombe bien car la draft arrive à grand le 21 juin 2018 le front office t monte un trade le P 5 Trang contre le P 3 Atlanta un jeune SLOV MVP du final de l’ a seulement 18 ans [Musique] [Applaudissements] [Musique] [Applaudissements] la sélection de DONIC aussi haut dans la draft est le résultat d’un long processus d’ouverture de la NBA à l’international dont Dirk a été le péard en prouvant qu’un étranger pouvait assumer le rôle de franchise player l’Allemand a ouvert la voix à plusieurs gtion de joueurs notamment issu du Vieux Continent contrairement à son aîné le Slovène est un génie précoce qui n’a pas à forcer son talent pour dominer surtout c’est un sale gosse un râleur invééré et brun truqueur enfin Luca est un tueur sous le jers merengé comme en sélection il a déjà tout gagné ou presque la NBA ne lui fait pas peur et il a la ferme intention de griller les étapes de coïcide avec les adieux de Dir preuve qu’il fait l’unanimité l’allemand est chaleureusement applaudi dans chaque salle même sur les parquets de ses anciens rivaux [Musique] d’un ultime one leg F way le wonderk tire sa révérence l’avenir des Mavs est assuré il peut partir en paix avec le sentiment du devoir accompli il prend sa retraite en même temps que Dwayne Wade c’est d’ailleurs ensemble que les deux hommes sont introduit au Hall of Fame entre eux la rancœur d’ENT temp a laissé place à un profond respect mutuel le W est décidément impossible à détester la passation de pouvoir est actée laa est désormais le seul maître à bord rooki de l’année 2019 le Wonder Boy a déjà dépassé toutes les attentes il a établi plusieurs records de précocité et affiche un niveau de jeu digne d’une superstar statue qu’il confirme dès sa saison sopomore avec une facilité déconcertante le gamin multiplie les triples doubl et les coups d’éclat Allstar il qualifie son équipe en play-off opposé au Clippers au premier tour dans la bulle d’Orlando DONIC livre une série historique en l’absence de christap spzingis il prend le jeu à son compte et inscrit 70 points en combiné lors de ses deux premiers matchs de post season du jamais vu depuis George Man au Game 3 il réalise un triple double sur une jambe malgré la douleur il récidive au match suivant et ajoute un buzer beitter pour arracher la victoire en prolongation le gamin est déjà très clutch pas suffisant cependant pour faire tomber la le scénario se répète la saison suivante cette fois Lua pousse les Clippers a livré se matchs se rencontres stratosphériques de la part du slovène dont un Game se à 46 points et 14 pass des chiffres d’un autre âge en 2021 202 la continue de marcher sur l’eau mais se blesse quelques jours avant les playoffing Party c’est Jay Bronson qui en profite pour sortir de son trou [Applaudissements] [Musique] [Applaudissements] la troisème tentative est la bonne les maves réussissent enfin à passer un tour remis de son pépin physique Lua poursu sur sa bonne lancée et dispose des Suns finalistes de l’édition précédente dans une série très accrochée lors de laquelle le sloven fait l’étalage de ses talents de trasher le run prend malheureusement fin aux portes de la finale malgré la défaite les Mavs peuvent être rassurés ils font désormais partie des prétendants sérieux au titre sauf quen NBA rien n’est jamais garanti la saison 2022-2023 tourne au cauchemar la révélation des play-off Jayen Bronson n’est pas conservée après avoir grillé les étapes Lucas se heurte à la dure réalité de la grande ligue son mauvais caractère commence lentement à entacher sa réputation son individualisme et est également pointé du doigt dans les faits Luca est trop esselé sans réel lieutenant d de snow alors Dallas tente un gros coup en cours de saison en faisant venir kyriie Irving un move qui ne plaît pas à tout le monde car uncle Drew souffre également de très mauvaise presse de plus son association avec DONIC ne paraît pas évidente sur le papier de nombreux fans s’interrogent sur l’équilibre défensif des Mavs et en effet les résultats tardent à venir Dallas s’écroule et abandonne tout espoir de se qualifier en [Musique] play-off malgré la contreperformance le front office choisit de prolonger Kie Irving à l’été 2023 un choix polémique mais qui s’avère payant car les Mavs prennent la NBA de cours fantastique kyving et Luk DONIC prouvent que les grands joueurs trouvent toujours un moyen de coexister àca le rôle du chef d’orchestre à ki celui du soliste à qui on demande de clore le B entouré de bons rle players comme derck Jones jor PG Washington ou encore Daniel gafford le duo déjoue tous les pronostics mvpesque lu Magic se P même le luxe de sortir sa bête noire Angelino au premier tour des playoff la vengeance est un plat qui se mange glacial sur leur bonne lancée les Mavs disposent successivement du jeune Thunder premier de conférence puis des surprenants Timberwolves tombeur des champions à 25 ans seulement Luka DONIC s’apprête à participer à sa première finale NBA l’occasion d’inscrire son nom en lettre d’or dans l’histoire de la NBA confronté au Celtics c’est au tour de kyie Irving de prendre sa revanche en face Christ sporzingis a également un message à faire passer à ses excoéquipiers tous les ingrédients pour assister à une finale d’antologie elle sera pourtant à sens unique mais connaissable les maves sont dépassés par l’armada bostienne magnifique tout au long de la campagne uncle Drew balbue son basket propéelé et peut-être dépassé par l’enjeu le Wonder Boy perd ses moyens et laisse exploser sa frustration sur les arbitres Dallas n’a tout simplement pas été à la hauteur de l’événement [Applaudissements] Luka domsic a manqué son rendez-vous avec l’histoire le problème quand on manque ce genre de rendez-vous c’est qu’on ne sait pas s’il se représentera un jour ça les maves ne le savent que trop bien l’histoire des Dallas mavrix c’est celle d’une bande de cowboy peut-être un peu trop tendre mais droit dans leur bottes des asses de la gâchette qui n pas toujours dégainé au bon moment victime de la dure loi du Far West mais dont l’ultime chevauchée restera à jamais gravé dans les mémoires être un mavrique c’est ça ne pas se trahir rester soi-même quoi qu’il en coûte se montrer fidèle à sa franchise à sa ville à ses fans surtout continuez à croire que les échecs du passé ne nous définissent pas et qu’il n’est jamais trop tard pour aller de l’avant Dirk nowiitski en est la preuve vivante un exemple d’humilité de travail et de résilience Luk DONIC saura-t-il suivre ses pas réussira-t-il à se remettre en question acceptera-t-il de changer avant que la frustration ne l’emporte à lui d’en décider [Musique] [Musique] [Applaudissements] [Musique] [Applaudissements] [Musique] [Musique] ch [Musique] over [Musique] ton ton [Musique]

🚨🚨🚨 L’édition COLLECTOR avec une couv spéciale WEMBY de LA NBA, C’EST QUOI ? est dispo sur fnac.com ➡️ https://www.fnac.com/a20206974/Franck-Berteau-La-NBA-c-est-quoi

Bienvenue à tous dans la Grande Ligue, l’émission qui vous raconte la fabuleuse histoire des franchises NBA.
La NBA est un univers impitoyable qui glorifie la loi du plus fort. Pourtant, le plus fort ne gagne pas à tous les coups. Une blessure, une décision arbitrale ou même simplement de la chance peuvent rebattre les cartes et changer radicalement le cours d’une série. Après tout, même les plus grandes équipes ont connu leurs lots de chokes. En revanche, quand ces chokes sont trop réguliers, c’est qu’un mal plus profond existe : la peur de gagner.
La franchise dont nous allons vous parler aujourd’hui a longtemps eu peur de gagner. Son franchise player a même été l’incarnation du loser. Ironie de l’histoire, il s’est ensuite relevé comme un underdog ultime pour nous offrir l’un des si ce n’est le plus beau titre de tous les temps.
Alors, on part au galop, soleil couchant, vers la patrie des dollars et du pétrole. Dallas et Mavericks, nous voilà.
Ready ? Let’s go !

Le Crossover est une chaîne imaginée par vroom originals.

Écriture : Vincent Poulain
Narration : Selim El Mellah
Montage : Hugo Hartmann Perrenot & Idriss Merouane
Direction Artistique : Hubert Forgeot
Graphisme : Ambre Duflot
Production : Hossein Adibi, Paul Conquet

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